5 000 $ en pièces d’or volées à un bon Samaritain. Une femme accusée d’avoir volé plus de 5 000 dollars en pièces d’or est en prison et fait face à une accusation de vol grave.

La police pense que les pièces ont été volées à un individu qui a fourni à la femme un endroit sûr pour rester après une dispute conjugale.

Cayley Mewett de St. George a été arrêté mercredi et mis en prison pour ce qui était à l’origine une accusation de vol de courrier.

L’arrestation découle d’une enquête ouverte peu après midi le 13 juillet, lorsque des agents ont été dépêchés dans une résidence de West 400 South à St. George pour donner suite à une déclaration de vol.

La plaignante a dit à la police que Mewett avait séjourné à leur domicile à la suite d’une altercation violente entre Mewett et un petit ami.

Pendant son séjour, a appris la police, la plaignante a montré à Mewett une collection de 30 pièces d’or d’une once, que la plaignante a déclaré avoir achetées à des fins d’investissement après le décès de leur conjoint, ainsi qu’un moyen pour eux de prendre leur retraite.

Les pièces avaient été achetées pour 1 100 $ chacune, et ce n’est qu’après le départ de Mewett que le propriétaire a découvert qu’il en manquait cinq, soit une perte de plus de 5 500 $.

5 000 $ en pièces d’or volées à un bon Samaritain

Grâce à une série d’entretiens, les agents ont obtenu des informations indiquant que Mme Mewett avait dit à un associé qu’elle avait pris les pièces à la propriétaire et qu’elle les avait ensuite mises en gage chez différents prêteurs sur gage à St. George et à Mesquite, au Nevada.

Selon le rapport de police, l’une des pièces correspondant aux autres pièces disparues de la collection de l’appelant a apparemment été vendue chez un prêteur sur gages de St. George Boulevard.

Les agents ont également appris d’un témoin que Mme Mewett possédait un certain nombre de pièces d’une once similaires au moment où elle a vendu la pièce d’or unique au mont-de-piété.

Mercredi, peu avant 22 heures, la suspecte a été arrêtée et incarcérée à la maison de correction de Purgatory pour vol au second degré. Elle a été libérée sous caution de 5 000 dollars.

Ce rapport est basé sur des déclarations provenant de dossiers judiciaires, de la police ou d’autres intervenants et peut ne pas contenir l’intégralité des conclusions. Les personnes arrêtées ou inculpées sont présumées innocentes jusqu’à ce qu’elles soient déclarées coupables par un tribunal ou par un juge des faits.