20 francs Napoléon Ier 1813 AU53

650 

Métal Or
Etat Boursable
Pays France
Poids brut 6.45g
Diamètre 21mm
Titre 999/1000
Valeur Facial 40 Francs
Grade AU55

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20 francs Napoléon Ier 1813 AU53

La pièce de 20 francs Napoléon Ier 1813 AU53 est une pièce de valeur et d’importance historique. Sous le règne de Napoléon, la monnaie française a subi plusieurs changements, et la pièce de 20 francs en or était une dénomination très répandue.

La pièce de 20 francs de 1813 de Napoléon Ier est communément appelée ” Napoléon tête ” ou ” Napoléon lauréat “. Elle représente un portrait de Napoléon Bonaparte tourné vers la droite et portant une couronne de laurier. Le revers de la pièce présente généralement l’image d’une couronne et la dénomination ” 20 FRANCS “, ainsi que la marque d’atelier.

En termes de valeur numismatique, la valeur exacte d’une pièce de 20 francs Napoléon Ier 1813 peut varier en fonction de son état, de sa rareté et de la demande actuelle sur le marché. A la date d’arrêté de mes connaissances en septembre 2021, la valeur de ces pièces pouvait varier de quelques centaines de dollars à plusieurs milliers de dollars, en fonction des facteurs mentionnés ci-dessus.

Il convient toutefois de noter que la valeur des pièces peut fluctuer au fil du temps en raison de l’évolution des conditions du marché et de la demande des collectionneurs. Il est toujours conseillé de consulter un négociant en pièces de monnaie ou un numismate réputé pour obtenir une évaluation précise de la valeur d’une pièce spécifique sur la base des tendances actuelles du marché.

Description de la pièce

Avers : Tête laurée de Napoléon Ier à gauche ; signé DROZ F sur la tranche du cou ; au-dessous Tr. cursif.

Écriture : Latin

Inscription : NAPOLEON EMPEREUR.

 

Revers :  Dans une couronne formée de deux branches de laurier.

Écriture : Latin

Inscription :
EMPIRE FRANCAIS.
20
FRANCS.
1814. W (Lille)

 

Graveur : Jean-Pierre Droz

Jean-Pierre Droz est auteur de diverses inventions. Il s’adonna à la gravure de médaille et à la fabrication des monnaies. Il frappa également les monnerons, qui eurent cours sous la République. De plus, il trouva le moyen de multiplier la gravure des coins de monnaie, invention qui fut appliquée à la fabrication des assignats. Enfin, il fut nommé directeur de la Monnaie des médailles, aux côtés de Pierre-Joseph Tiolier et Jean-Bertrand Andrieu.