50 francs Genie 1904

A partir de 1 890 

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Caractéristiques

Métal Or
Etat Boursable
Pays France
Poids bruts 16.12g
Diamètre 28mm
Titre 999/1000
Valeur Faciale 50 Francs

Pourquoi investir dans une 50 Francs Genie debout ?

La 50 francs Genie 1904 est une monnaie recherchée et de faible tirage est à acquérir car nombreux sont les collectionneurs qui la désirent. La 50 francs Génie est la dernière monnaie d’or d’une valeur faciale de 50 francs frappée.

Pièce d’or de 50 francs frappée à plus de 26900 exemplaires, elle fut créée  par les lois du 20 juin 1871 et 5 aout 1874 lors de l’avènement de la 3éme République. La première année de frappe est 1878, la dernière est 1904. 

Une des plus belles monnaies françaises. Gravée par Dupré, elle symbolise la République sans la séparation de l’Etat et de l’Eglise puisqu’on  lire sur la tranche « Dieu protège la France ».

Description de la pièce

Avers

Génie de la République, debout à droite, gravant une Table vierge sur un cippe, accosté d’un faisceau vertical surmonté d’une main de justice à gauche et d’un coq à droite ; signé Jules Dupré.

Revers

Valeur faciale entourée d’une couronne de chêne fermée

50 Francs Genie debout : une gravure signée Jules Dupré

Jules Dupré, né à Nantes le  et mort à L’Isle-Adam le . Il est un peintre paysagiste français, pionnier à l’instar de Camille Corot, du paysage à la française, et influencé par John Constable.

Il sortit de son atelier et peignit en plein air dès les années 1830, autour de Paris, à Barbizon et dans le Limousin.

Son père, originaire de L’Isle-Adam, dirige une manufacture de porcelaine à Parmain avant de s’établir à Nantes. Par ailleurs, il s’initie d’abord à l’art du décor sur céramique et admira toute sa vie Théodore Géricault, et Rembrandt.

En 1823, il arrive à Paris où il travaille chez un oncle qui emploie Auguste Raffet, Louis Cabat et Narcisse Díaz de la Peña. Il fait alors également la connaissance de Constant Troyon, ouvrier peintre à la manufacture de Sèvres. Il est ensuite admis dans l’atelier du paysagiste Jean-Marie Diébolt et vend ses premières peintures à Paris. Devenu l’ami du paysagiste Louis Cabat, celui-ci le persuade d’abandonner la céramique pour peindre des scènes.

Il étudie les peintres hollandais du XVIIe siècle dont il demeurera grand admirateur. De plus, en 1831, expose pour la première fois au Salon avec des paysages du Limousin. En 1832, il séjourne dans le Berry avec Cabat et expose quatre œuvres au Salon de 1833 où il obtient une médaille.